« Esprit, chair : à la fin la même quête, née d’une économie et d’une identité en ruine. Le signe le plus évident est la prolifération de la prostitution, une « sortie » de ce qui a toujours existé, mais furtivement. Le gouvernement a officiellement admis qu’il est impossible de freiner le commerce du sexe ; Mexico n’est pas occupée à démanteler les femmes et les hommes qui travaillent, mais à formuler des directives juridiques et sanitaires pour les travailleurs du sexe.—— Rubén Martinez
“Spirit, flesh: in the end the same quest, born of a crumbling economy and identity. The single most apparent sign is the proliferation in prostitution, an ‘outing’ of what has always existed, but furtively. The government has officially admitted that it is impossible to rein in the sex trade; Mexico City is not busy busting working women and men, but formulating legal and health guidelines for sex-workers.” —Rubén Martínez