Blackpool a une réputation peu enviable pour ses enterrements de vie de jeune fille et de garçon. Chaque week-end, des meutes de mariés, d’amis proches et de membres de la famille en maraude débordent ses rues en mission de consommer des niveaux d’alcool dangereux et écrasants pour le foie. Leur rite de passage se déroule lors de la dernière nuit de la liberté, devant les conventions et les responsabilités de la vie conjugale, de l’hypothèque, des enfants.
Dougie Wallace a capturé une ville grouillante de tout, des bunnygirls aux bananiers. Des filles vêtues de toges, tous des sacs à main dorés assortis et des cheveux bien coiffés, ce qui lui donne le traitement “when in Rome”, des filles du diable, des femmes roses, des brownies, des gars en traînée, fourrés dans des tenues de nonnes et d’infirmières, portant des T-shirt salaces. Chemises avec ‘Johnny’s Last Night of Freedom’ ou ‘Up the Anus Ashley’- chaque groupe avec le même but singulier, être aussi «merdique» que possible.
Le photographe londonien Dougie Wallace a grandi à Glasgow. Il est reconnu pour son documentaire social expressif et son style distinct et direct de photographie de rue. Comme il le dit; «Le comportement humain motive mes images. Les gens, leurs interactions et leurs émotions me fascinent… Traduire cela, à travers mon objectif, en esprit social, en critique et en vignettes humoristiques est ce qui me stimule. »
Largement autodidacte, il a pris la photographie au sérieux après avoir servi quatre ans dans l’armée. Souvent connu sous le nom de «Glasweegee», Wallace pense que son éducation à Glasgow a contribué à façonner son style, qui a été décrit comme «dur et exagéré», véhiculant un point de vue personnalisé à la fois crédible et absurde. Son travail a figuré dans de nombreuses publications, notamment des commandes pour le New York Times et Stern Magazine, Allemagne.
* Weedgie est un terme utilisé pour décrire quelqu’un de Glasgow ou quelqu’un qui parle avec un accent de Glaswegian.
Blackpool has an unenviable reputation for its stag and hen parties. Every weekend marauding packs of brides and grooms, close friends and family, overflow its streets on a mission to consume dangerous, liver-crushing levels of alcohol. This, their rite of passage acted out on the last night of freedom, before the conventions and responsibilities of marital life, mortgage, children.
Dougie Wallace has captured a town heaving with everything from bunnygirls to banana men. Girls dressed in togas, all matching gold handbags and neatly-done hair, giving it the ‘when in Rome’ treatment, devil girls, pink ladies, Brownies, guys in drag, stuffed into nuns’ and nurses’ outfits, wearing salacious T-shirts with ‘Johnny’s Last Night of Freedom’ or ‘Up the Anus Ashley’ – each group with the same singular objective, to get as ‘fucked up’ as possible.
London-based photographer Dougie Wallace grew up in Glasgow. He is recognised for his expressive social documentary and a distinct and direct style of street photography. As he says; ‘Human behaviour motivates my pictures. People, their interactions and emotions fascinate me… Translating this, through my lens, into social wit, criticism and humorous vignettes is what stimulates me.’
Largely self-taught, he took up photography seriously after having served four years in the army. Often known as ‘Glasweegee’, Wallace believes that his Glasgow upbringing has helped shape his style, which has been described as ‘hard edged’ and ‘visually exaggerated’, conveying a personalised point of view that is both believable and absurd. His work has featured in many publications including commissions for The New York Times and Stern Magazine, Germany.
* Weedgie is a term used to describe someone from Glasgow or someone who talks in a Glaswegian accent.