Jusqu’à la fin du Xxe siècle, le Bowery était un lieu bien connu d’hôtels et de bars bon marché, le fameux quartier skid de New York, où les habitants de la ville se retrouvaient et faisaient de leur mieux. Inspiré du classique de Lionel Rogosin en 1956, On the Bowery, d’Ed Grazda, On the Bowery, montre la vie altérée et les moments qu’il a vécus sur le Bowery en 1971. Peut-être la partie la plus aride de la ville de ces années-là, Grazda a saisi toute la douleur, les difficultés et la malchance générale sur le visage de ceux qui ont appelé les Bowery leur maison. La vue de la rue sans filtre et sans barrière est l’endroit où Grazda a toujours été le plus à l’aise pour photographier, et une fois de plus nous sommes les récipiendaires de son esprit intrépide. Capturé avant que l’embourgeoisement n’ait changé les habitués et le quartier environnant en une destination touristique avec des musées, des détaillants haut de gamme, des clubs et des restaurants chics, Grazda nous rappelle à tous qu’il y a quelques décennies seulement, le Bowery était une scène bien différente et que New York ne cesse d’évoluer ; photos en n.b.
Up until the late 20th century the Bowery was a notorious place of cheap hotels and bars–New York’s infamous skid row, where the city’s down-and-out found each other and made do the best they could. Inspired by Lionel Rogosin’s classic 1956 film On the Bowery, Ed Grazda’s On The Bowery shows the weathered life and times he encountered on the Bowery in 1971. Perhaps the grittiest part of the city in those years, Grazda captured all the sorrow, hardship, and general bad luck upon the faces of those who called the Bowery their home. The unfiltered and barrierless street view is where Grazda has always been most comfortable shooting, and once again we are the beneficiaries of his intrepid spirit. Captured before gentrification changed the strip and surrounding neighborhood into a tourist destination with museums, upscale retailers, clubs, and fancy restaurants, Grazda provides an important reminder to us all that it was only a few decades ago that the Bowery was a much different scene–and that New York never stops evolving.