1ère édition tirée à 800 exemplaires.
Sur les photos prises à Koza par Kosuke Okahara, je ne vois pas le photographe. Ce n’est pas parce qu’il était celui qui photographiait, ou pour d’autres raisons physiques. Je ne trouve pas d’émotions superficielles émanant de son objectif, ni des sujets, ni du photographe. Cela n’a peut-être pas de sens, mais il me semble que pendant que le photographe était avec ses sujets, les regardant directement, il observait en fait depuis un autre domaine. Il reste des images exemptes d’émotions superficielles telles que la chaleur et la tristesse et laissées avec un poids de présence presque insupportable. Sans aucun doute, dans ces moments, tout en partageant le même espace, il observait d’une autre dimension.
– Il était sûrement dans ses rêves. -Tatsuya Ishikawa / Directrice de la création (Extrait de la postface du livre)
1st edition of 800 copies.
In the pictures captured in Koza by Kosuke Okahara, I don’t see the photographer. It’s not because he was the one photographing, or for some other physical reasons. I don’t find superficial emotions emanating through his lens from either the subjects or from the photographer. This might not make sense, but it feels to me as though while the photographer was with his subjects, looking directly at them, he was actually observing from another realm. What is left are pictures free from superficial emotions such as warmth and sadness and left with an almost unbearable weight of presence. Without a doubt, in those moments, while sharing the same space, he was observing from some other dimension.
– He was surely in the dreams. -Tatsuya Ishikawa / Creative director (An excerpt from the afterword of the book)
