Ce volume de poche présente une sélection captivante de photographies de studio et vernaculaires de femmes mexicaines du milieu du XIXe siècle aux années 1960. Grâce au montage minutieux du photographe Pablo Ortiz Monasterio, la séquence d’images se fond dans un récit de l’autonomisation des femmes. À mesure que la technologie photographique progresse dans le livre, passant des daguerréotypes aux films couleur, les droits des femmes photographiées deviennent de plus en plus mobiles, expressives et exposées. Pourtant, quelle que soit l’époque à laquelle elles appartiennent, toutes les femmes semblent intensément vivantes, enhardies par leur position devant la caméra.
Las Mexicanas souligne la relation intime et puissante entre le médium photographique, les femmes et ceux qui ont eu la chance d’avoir un appareil photo dans leurs mains. Beaucoup des images de cette édition proviennent d’une collection privée, accumulée sur une décennie de visites aux marchés aux puces de Mexico, avec l’aide de connaisseurs et le soutien de libraires et de commerçants. Cette particularité donne au volume une valeur unique, attirant un public intéressé non seulement par la photographie antique et les objets de collection, mais aussi par les sciences sociales, le féminisme et les représentations culturelles. La contextualisation de ces images captivantes est un essai de l’auteure, sociologue et économiste Brenda Navarro, auteur des romans primés Empty Houses and Ash in the Mouth. Une œuvre qui transcende le temps et l’espace, Las Mexicanas célèbre la force et la diversité des femmes mexicaines à travers les générations, et sert d’élément essentiel pour ceux qui cherchent à apprécier la richesse de l’histoire et de la culture du Mexique.
Une grande partie des images de cette édition provient d’une collection privée créée pendant plus d’une décennie de visites aux principaux marchés aux puces de Mexico avec la complicité de connaisseurs, le soutien de libraires et de commerçants. Compte tenu de sa nature, le volume attire un large public intéressé non seulement par la collecte et l’étude de la photographie, mais aussi par les thèmes des sciences sociales, des féminismes et des représentations culturelles.
Avec l’esprit de proposer un point de départ alternatif pour aborder la photographie, Las Mexicanas met en lumière la relation intime et puissante entre le médium photographique, les femmes et tous ces gens qui, au Mexique, ont eu la chance d’avoir un appareil photo entre les mains ; sous la direction de Pablo Ortiz Monasterio, texte de Brenda Navarro, photos en n.b. et quelques unes en couleurs.
This pocket-size volume presents an entrancing selection of studio and vernacular photographs of Mexican women from the mid-19th century to the 1960s. Through the careful editing of photographer Pablo Ortiz Monasterio, the sequence of images coalesces into a narrative of women’s empowerment. As photographic technology advances in the book―transitioning from daguerreotypes to color film―so too do the rights of the women pictured, who become increasingly mobile, expressive and exposed. Yet, regardless of the era they belong to, all of the women appear intensely alive, emboldened by their position before the camera.
Las Mexicanas underscores the intimate and powerful relationship between the photographic medium, women and those who were fortunate to have a camera in their hands. Many of the images in this edition originate from a private collection, accumulated over a decade of visits to the flea markets of Mexico City, with the assistance of connoisseurs and support from booksellers and merchants. This particularity gives the volume a unique value, attracting an audience interested not only in antique photography and collectibles, but also in social sciences, feminism and cultural representations. Contextualizing these captivating images is an essay by author, sociologist and economist Brenda Navarro, author of the award-winning novels Empty Houses and Ash in the Mouth. A work that transcends time and space, Las Mexicanas celebrates the strength and diversity of Mexican women across generations, and serves as an essential item for those seeking to appreciate the richness of Mexico’s history and culture.
Much of the body of images in this edition come from a private collection created during more than a decade of visits to the main flea markets in Mexico City with the complicity of connoisseurs, support from booksellers and merchants. Given its nature, the volume attracts a large audience interested not only in collecting and the study of photography, but also in the themes of social sciences, feminisms, and cultural representations.
With the spirit of proposing an alternative starting poing for approaching photography, Las Mexicanas highlights the intimate and powerful relationship between the photographic medium, women and all those people who, in Mexico, were fortunate to have a camera in their hands.