Depuis son propre langage, son regard et sa pratique photographique, l’auteure met en évidence comment une situation politique, sociale et économique se ressent du corps, du physique et de la peau, unissant ainsi 3 mondes : la femme, la situation sociopolitique et économique et, Valparaiso.
“Comme à l’habitude, il y a des statues. Des statues et des corps. Des corps qui pourraient s’essayer à être des statues. Comme d’habitue il y a des filles. Mais pas seulement. Simplement, comme à l’habitude, les filles ont une façon bien à elles, faussement distanciée, insolente, de présenter leur corps pour qu’il devienne image. Sourires, complicité, comme à l’habitude. Pas de modèle. Tout cela en ville. Mais ce n’est pas tout à fait comme à l’habitude parce que dans cette ville il y a des oiseaux. De grands oiseaux marins. Ville port dans laquelle les statues et les corps, les reflets, les images, les autoportraits sont toujours en partance. Valparaiso. Images et imaginaires.
Cela semble un peu comme à l’habitude, mais ce n’est pas comme d’habitude.”[…] -extrait de la postface de Christian Caujolle
Desde su propio lenguaje, su mirada y práctica fotográfica la autora déjà en evidencia cómo una situación política, social y económica se resiente desde el cuerpo, desde lo físico y la piel, uniendo así 3 mundos: la mujer, la situación sociopolítica y económica y, Valparaíso.
“Como de costumbre, hay estatuas. Estatuas y cuerpos. Cuerpos que podrían intentar ser estatuas. Como de costumbre hay chiquillas. Pero no solo eso. Simplemente, como de costumbre, las chiquillas tienen una manera muy propia, con un falso distanciamento, insolente, de presentar su cuerpo para que se vuelva en imagen. Sonrisas, complicidad, como de costumbre. Sin modelo. Todo esto en la ciudad. Pero no es realmente como de costumbre porque en esta ciudad hay aves. Grandes aves marinas. Ciudad puerto en la que las estatuas y los cuerpos, los reflejos, las imágenes, los autorretratos, simpre están por partir. Valparaíso. Imágenes e imaginarios.
Se parece un poco a lo de costumbre, pero no es como de costumbre.” [… ] -extracto de la cara posterior de Christian Caujolle
COLLECTION VALPARAISO
Cette collection est un hommage à Sergio Larraín et son livre Valparaiso, suivant le même dessin de couverture dans ces publications sont les résultats des résidences réalisées par différents auteurs internationaux et nationaux dans la ville de Valparaiso dans le cadre du Festival international de photographie de Valparaiso.
COLECCIÓN VALPARAÍSO
Esta colección es un homenaje a Sergio Larraín y su libro Valparaíso, siguiendo el mismo diseño de portada en estas publicaciones se plasman los resultados de las residencias realizadas por diferentes autores internacionales y nacionales en la ciudad de Valparaíso en el marco del Festival Internacional de Fotografía de Valparaíso.