Max Natkiel : Studio Paradiso

Photographe Natkiel Max
Notez qu’il y a 4 couvertures à ce livre et celle que vous recevrez est aléatoire.

Note that there are 4 covers to this book and delivery is random for which you receive.

Il buvait avec eux, faisait la fête et commençait à leur parler. À partir de 1980, il a pris son vieil appareil Rolleiflex et un bon flash avec lui et a pris plus d’un millier de portraits. Il a placé ses membres du public de Paradiso sur un fond neutre (les carreaux des toilettes, un mur dans le couloir) et les a photographiés en noir et blanc contrastant frontalement et avec désinvolture.

He drank with them, partied with them and started talking to them. From 1980 onwards he took his old Rolleiflex camera and a good flash with him and took over a thousand portraits. He placed his choice of Paradiso audience members against a neutral background (the tiles of the toilet, a wall in the hallway) and photographed them frontally and casually in high-contrast black and white.

Lire la suite

55,00

Plus que 1 en stock

Lors de concerts au Paradiso, temple amstellodamois de la pop, le photographe Max Natkiel, (né en 1943) a rencontré au début des années quatre-ving des punks, des rockers, des mods, des Moluquois, des rastas, des adeptes de heavy metal ou de new wave, des sympathisants du mouvement autonome, des skins et d’autres habitués des lieux. Il a dansé, noué conversation et bu des verres avec eux. Au cours des années 1980-1990, armé de son vieux Rolleiflex, il a ainsi réalisé plus d’un millier de portraits. Environ 600 photos ont été retenues pour composer Studio Paradiso. Sous ses yeux, Natkiel a assisté à l’éruption d’une jeunesse pure et dure : incontrôlable, dégoûtée de l’univers des adultes, animée d’un désir farouche de n’en faire qu’à sa tête. Il s’agissait de la dernière explosion d’une culture jeune avant l’ère numérique. Cette époque singulière est certes révolue, mais grâce à un mariage délicat entre distance et implication, Natkiel en propose des photos qui ne cessent de nous intriguer et de nous fasciner. Philosophe et publiciste, Dirk van Weelden a signé l’introduction.

As a frequent visitor to concerts at Paradiso, Amsterdams long-running music venue, in the early 1980s, Dutch photographer Max Natkiel encountered all manner of subcultures: punks, new-wavers, rockers, mods, Rastafarians, squatters, and metal- and skinheads. Eventually he decided to bring along his camera and started making portraits of the fascinating people he found; a collection eventually numbering over 1000. A selection of about 600 of these black and white photographs appears here, reflecting the explosion of pure youth culture and fierce desire for individuality he experienced in the decade between 1980-1990. With an introduction by philosopher Dirk van Weelden.