Publié avec 3 couvertures différentes.
Chaque couverture est limitée à 150 exemplaires
Published with 3 differents cover.
Each cover is limited to 150 copies
Dans « Stoned in Melanchol », Megan renverse la banalité d’une petite ville en la transformant en son propre univers alternatif qui célèbre la jeunesse, la sous-culture et la liberté. La diplômée de l’Université d’Ulster dit qu’elle utilise la série comme une forme d’évasion pour elle-même et ses amis. « Les journées à Derry sont longues » dit Megan « Il n’y a pas grand-chose à faire à part traîner, perdre du temps ». Faire des photos est sa forme d’évasion. « Je détestais la façon dont j’avais marché dans chaque rue un million de fois », explique Doherty en expliquant pourquoi elle a d’abord pris l’appareil photo. Elle était « agitée, ennuyée, claustrophobe ». Ses amis étaient son salut, et plus elle photographiait, plus elle rencontrait de gens en cours de route. Comme toutes les bonnes muses, ils l’ont amenée dans un autre monde, surprenant et électrique. « Essentiellement, j’impose mes idées de jeunesse, de liberté, de beauté et de rébellion au paysage de la petite ville. » À bien des égards, Stoned in Melanchol est une œuvre de fiction. Oui, ce sont de vraies personnes d’un endroit très spécifique, mais c’est aussi un fantasme, un mirage. « Je n’apparais dans aucune des photos », admet Doherty, mais cela ne veut pas dire qu’elle n’est pas là. Elle nous a donné une feuille de route vers la scène underground de Derry, mais elle nous a aussi fait visiter ses propres rêves : « Je suppose que c’est ainsi que je suis présent sur les photos sans être réellement présenté. » ; avec une préface de Fiona Rogers de Firecracker / Webber Gallery.
In “Stoned in Melanchol” Megan flips small town banality on its head by turning it into its own alternate universe that celebrates youth, subculture, and freedom. The University of Ulster graduate says she uses the series as a form of escapism for herself and her friends. “Days in Derry are long” says Megan “There’s not a whole lot to do except hang out, wasting time”. Making pictures is her form of escape. “I hated how I had tread every street a million times,” explains Doherty of the reason she first picked up the camera. She was “restless, bored, claustrophobic”. Her friends were her salvation, and the more she photographed, the more people she met along the way. Like all good muses, they brought her into another world, one that was surprising and electric. “Essentially I am imposing my ideas of youth, freedom, beauty and rebellion on to the landscape of small town life.” In many ways, Stoned in Melanchol is a work of fiction. Yes, these are real people from a very specific place, but they’re also a fantasy, a mirage. “I don’t actually appear in any of the photographs,” admits Doherty, but that doesn’t mean she isn’t there. She’s given us a roadmap to Derry’s underground scene, but she’s also taken us on a tour through her own daydreams: “I suppose this is how I am present in the photographs without actually being featured.” ; with a foreword by Fiona Rogers of Firecracker/ Webber Gallery.