Exemplaire Signé.
1ère édition tirée à 700 exemplaires.
Une capsule temporelle photographique de Tokyo autour du millénaire
Les années 90 ont été une décennie de nombreux changements – la bulle a éclaté, les nouvelles tendances et technologies ont changé non seulement le Japon mais le monde, et le Japon a connu des catastrophes ainsi que du terrorisme intérieur. Le photographe Mitsugu Ohnishi a senti les rues l’appeler, et il a répondu en capturant la vie dans la région de Shitamachi à Tokyo sur un film de format moyen, filtré à travers un objectif grand angle. Ses photographies vont de l’humour au banal, des scènes quotidiennes à des situations uniques, s’additionnant pour former une capsule temporelle visuelle de Tokyo avant que la ville ne change radicalement à nouveau dans les années 2000.
«Quand j’ai parcouru les rues chaotiques et animées de la fin de siècle Tokyo, quelque chose d’inattendu s’est précipité vers moi. Ce n’était pas tant l’idée de Daido Moriyama de «gratter» quelque chose, mais il me semble maintenant que c’était une époque où le sujet était sans vergogne stimulant. En tant que photographe, je ne pensais qu’à prendre des photos aussi franchement que possible.
– d’après la postface de Mitsugu Ohnishi
A photographic time capsule of Tokyo around the millennium
The 1990s were a decade of many changes – the Bubble had burst, new trends and technologies changed not only Japan but the world, and Japan experienced disasters as well as domestic terrorism. Photographer Mitsugu Ohnishi felt the streets call out to him, and he answered by capturing life in Tokyo’s Shitamachi area on medium format film, filtered through wide-angle lens. His photographs range from humorous to mundane, from everyday scenes to once-in-a-lifetime situations, adding up to form a visual time capsule of Tokyo before the city changed drastically again in the 2000s.
“When I scampered along the chaotic bustling streets of fin de siècle Tokyo, something unexpected surged towards me. It was not so much Daido Moriyama’s idea of “scratching” something, but it now seems to me that it was an era when the subject was unabashedly stimulating. As a photographer, I was only thinking about taking pictures as frankly as possible.”
— from Mitsugu Ohnishi’s afterword