À travers ses images, PJ enregistre des fragments de la ville — des morceaux d’architecture, des lumières changeantes, des événements fugitifs—sans narration ni structure prédéterminées. Prises lors de balades, ses photographies émergent d’un processus intuitif et improvisé. Au fil du temps, les rouleaux de films sont revisités et réexposés, ce qui donne des traces liminales, tactiles et intemporelles de ses nombreuses dérives à travers la ville. DBL propose une réflexion sur le mouvement, la mémoire et la perception tout en explorant la beauté que l’on peut trouver dans une perte de contrôle partielle intentionnelle.
Through his pictures, PJ records fragments of the city — bits of architecture, shifting lights, fleeting events — without predetermined narrative or structure. Shot during walks, his photographs emerge from an intuitive and improvisational process. Over time, film rolls are revisited and re-exposed, resulting in liminal, tactile, timeless traces of his many dérives through town. DBL offers a reflection on movement, memory, and perception while exploring the beauty that can be found in an intentional partial loss of control.

























