James Barnor revisite le traditionnel portrait de studio dès les années 1950, en installant ses modèles à l’extérieur, avec une Accra pleine de vie en toile de fond. À partir des années 1960, sa carrière s’organise en allers-retours entre l’Angleterre et le Ghana. Il s’initie à la photographie couleur et capture la trépidante époque des Swinging Sixties de Londres du point de vue de la diaspora africaine. À Accra, il est aux premières loges de l’indépendance du Ghana. Artiste multiple et innovant, James Barnor se consacre aujourd’hui à la postérité de son œuvre et à soutenir la photographie africaine ; introduction de Christine Barthe, photos en n.b. et en couleurs.
Photo Poche N° 174 : James Barnor
Une sélection de photographies de cet artiste éclectique et l'un des premiers photojournalistes ghanéens. Il pratique le portrait de studio comme la photographie de rue. Durant les dix ans passés en Angleterre, il rend compte des swinging sixties du point de vue de la diaspora africaine. Il a également réalisé plusieurs des unes pour Drum, magazine sud-africain engagé contre l'apartheid.Lire la suite
13,90€
Poids | 250 g |
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Dimensions | 12,5 × 19 cm |
Auteur(s) | |
Date d'édition | |
EAN | 9782330182892 |
Editeur | |
Photographe | |
Spécifité | |
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ISBN | 9782330182892 |
Langue(s) | français |
Nombre de pages | 144 |
Reliure | Broché |