Livre Épuisé.
Exemplaire état neuf.
Avec un côté contemporain rappelant étrangement le passé, les photos semblent être déterrées d’une séance. Nommée d’après une forme poétique française complexe basée sur la répétition, la Sestina a été pratiquée par Swinburne, Kipling et Auden, et transformée par Ezra Pound, T.S. Eliot et Elizabeth Bishop. Ici, la poésie de John Woods illumine l’imagerie surréaliste de Stivers.
C’est la troisième et la plus somptueuse monographie de Stivers à ce jour. Ses deux monographies précédentes, Robert Stivers Photographs et Listening to Cement, chacune publiée par les éditions primées Arena, ont suscité beaucoup d’éloges chez l’artiste. A.D. Coleman, qui a écrit l’essai pour sa première monographie, dit ce qui suit. “Le monde selon Robert Stivers est un endroit anxieux où la vision de tous est altérée, et où personne, introverti ou extraverti, ne peut immédiatement se sentir entièrement à l’aise ou en sécurité… Tournés, dégagés de nos repères, décentrés, dépouillés du confort de la clarté et des spécificités, nous sommes brusquement plongés dans cette dramaturgie astigmatique, truffée d’indices de rituels anciens, de formes élémentaires, d’esprits animaux, d’objets chargés, de célébrants et de personnes en deuil, naissances et sacrifices, élans et pauses, écarts et proximités. »
Sestina est une monographie extrêmement surdimensionnée, mesurant 41 x 52 cm, magnifiquement imprimée sur du papier mat luxuriant.
Out of Print Book.
Copy as new.
With a contemporary edge eerily recalling the past, the photos seem dredged up from a seance. Named after a complex French poetic form based upon repetition, the Sestina was practiced by Swinburne, Kipling and Auden, and transformed by Ezra Pound, T.S. Eliot and Elizabeth Bishop. Here, John Woods’ poetry illuminates Stivers’ surreal imagery.
This is Stivers’ third and most lavish monograph to date. His previous two monographs, Robert Stivers Photographs and Listening to Cement, each published by the award-winning Arena Editions, garnered the artist much praise. A.D. Coleman, who wrote the essay for his first monograph, says the following. “The world according to Robert Stivers is an anxious place in which vision of all is impaired, and in which no one, introvert or extrovert, can immediately feel entirely comfortable or secure… Spun around, unmoored from our reference points, off-center, stripped of the comfort of clarity and specifics, we are thrust abruptly into this astigmatic dramaturgy, rife with hints of ancient ritual, elemental forms, animal spirits, charged objects, celebrants and mourners, births and sacrifices, rushes and pauses, gaps and proximities.” Sestina is an extremely oversize monograph, measuring 16×20 inches, exquisitely printed on lush, matte paper.
