1ère édition tirée à 300 exemplaires.
Vendu avec un tirage (12,5 x 12,5cm) Numéroté et Signé
« Le 11 mars 2011, survint le tremblement de terre et le tsunami du Grand Est du Japon. Les vieilles maisons de ma ville natale, Miyagi, ont également été détruites lors du tremblement de terre. En voyant le paysage terrible de ma ville natale Miyagi au journal télévisé, j’ai senti que je ne pouvais rien faire. Mais j’étais submergé par le sentiment que je devais aller photographier les arbres qui se dressaient à l’endroit connu sous le nom de « Champ aux mille pins » sur le rivage de Rikuzentakata. » — extrait de l’avant-propos de Toru Komatsu
« Nature Morte – Après 311 », publié à l’occasion du dixième anniversaire du tremblement de terre et du tsunami du Grand Est du Japon, se compose de photographies prises par Komatsu lors de ses nombreux voyages sur la côte Pacifique de la région de Tohoku au Japon. Il a voyagé avec son fils Shizuka, un élève de troisième année au début des voyages. Pendant les voyages, ils ont dormi dans leur voiture, ont voyagé dans les zones touchées, ont visité la maison de ses parents. Ses photographies solennelles en noir et blanc représentent les quelques arbres provocateurs qui continuent de subsister dans le vide du paysage post-tsunami. Avec retenue et sang-froid, les images de Komatsu relaient discrètement les ravages
“On March 11, 2011, came the Great East Japan earthquake and tsunami. The old houses of my hometown, Miyagi, were also destroyed in the earthquake. Seeing the terrible scenery of my birthplace Miyagi on the TV news, I felt there was nothing I could do. But I was overcome with the feeling that I must go and photograph the trees standing in the place known as the ‘Field of a Thousand Pines’ on the Rikuzentakata shoreline.” — from Toru Komatsu’s foreword
“Nature Morte – Après 311”, published on the tenth anniversary of the Great East Japan Earthquake and Tsunami, consists of photographs taken by Komatsu during his many trips to the Pacific Coast of Japan’s Tohoku region. He travelled together with his son Shizuka, a third-grader when the trips started. During the trips, they slept in their car, traveled around the affected areas, visited his parents’ house. His solemn black-and-white photographs depict the few defiant trees that continue to remain in the emptiness of the post-tsunami landscape. With restraint and composure, Komatsu’s images quietly relay the devastation caused on March 11 without disregarding the strange, haunting beauty of these sparse sceneries.
“My father, pictured here with Shizuka, is no longer with us. My mother, who praised me for this photo, is also gone. Ten years may seem like a long time, but for me, those days seem like yesterday.” — from the artist’s statement