Un livre écrit et édité par Valentina Abenavoli.
« C’est la première étincelle, une lueur de suppositions, de frissons et d’envies. L’amour n’arrive comme rien de nouveau, sauf chaque fois qu’il arrive, bêtement. »
L’empathie est une projection imaginative de l’autre, une identification psychologique, pas une réaction émotionnelle. Partant de cette hypothèse, et suivant le livre précédent Anesthésie dans lequel le concept d’empathie est analysé comme expérience collective, The Harvest prend en jeu le domaine privé, l’expérience la plus intime avec l’autre, l’acte sexuel et l’acte d’amour. Dans le déroulement du processus de la chute à l’amour, déguisant l’objectification de l’autre et le pouvoir déséquilibré qui se produit mutuellement dans le couple, La moisson est construite comme un jeu : la personne qui parle, la personne qui agit, la personne qui fait l’expérience, et le lecteur, sont interchangeables. The Harvest est le deuxième chapitre d’une trilogie inachevée.
A book written and edited by Valentina Abenavoli.
“It is the first spark, a glimmer of assumptions, the shivering and the craving. Love arrives as nothing new, except every time it does, foolishly.” Empathy is an imaginative projection of the other, a psychological identification, not an emotional reaction. Starting from this assumption, and following the previous book Anaesthesia in which the concept of empathy is analysed as collective experience, The Harvest takes on stake the private realm, the most intimate experience with another, the act of sex and the act of love. In the unfolding of the process from falling to being in love, disguising the objectification of the other and the unbalanced power that occurs mutually in the couple, The Harvest is built like a play: the person who speaks, the person who acts, the person who experiences, and the reader, are interchangeable. The Harvest is the second chapter of an unfinished trilogy.
