Exemplaire Signé
1ère édition tirée à 1 000 exemplaires.
La casa que sangra, de Yael Martinez (Taxco, 1984), documente les fractures psychologiques et émotionnelles qui engendrent une perte dans le noyau familial. Elle explore les clés sociales et culturelles de la mort. Ses images font parler l’espace intime, où l’intime relève du social et le témoignage d’une famille devient le témoignage de beaucoup d’autres, en transit vers la rupture du tissu collectif mexicain.
La casa que sangra, de Yael Martínez (Taxco, 1984), documenta las fracturas psicológicas y emocionales que genera una pérdida en el núcleo familiar. Explora las claves sociales y culturales operan al confrontar la muerte. Sus imágenes hacen hablar al espacio íntimo, donde lo personal es social y el testimonio de una familia se convierte en el testimonio de muchas más, en tránsito hacia la ruptura del tejido colectivo mexicano.