Los Angeles
-
Frank Lebon : One Blood
75,00€1ère édition tirée à 1000 exemplaires / 1st edition of 1000 copies.
À l’aide de piqûres au doigt, de microscopes et de lames, l’étude du sang menée par Frank Lebon examine sa propre relation à la biologie.
Using finger prickers, microscopes and slides, Frank Lebon’s study of blood examines his own relationship to biology
-
Todd Hido : Calendar 2026
Exemplaire Signé / Signed Copy.
Bien qu’il semble être impossible de dire ce que 2026 nous apportera, nous pouvons encore le remplir avec de belles images.
While there seems to be no telling what 2026 might bring, we can still fill it with pretty pictures.
-
Rulx Thork : Give You Power
65,00€Dans son premier livre de photos, Rulx Thork offre un portrait intime et tendre de la vie urbaine de Brooklyn.
In his first photobook, Rulx Thork offers an intimate and tender portrayal of Brooklyn’s urban street life.
-
Ian Bates : The Weight Of Ash (SIGNÉ)
70,00€Exemplaire Signé / Signed Copy.
Entre 2014 et 2020, Ian Bates a voyagé sans relâche le long de la côte ouest des États-Unis. Pendant des années, il a photographié une terre carbonisée souffrant d’incendies de plus en plus brûlants. Mais, loin de toute dramatisation voyeuriste, rares sont les représentations des flammes rugissantes ou de la fureur du feu. Plutôt, se tenant à une distance respectueuse, Bates photographie dans des tons riches de noir et blanc ce qui est en marge, les traces, l’après-coup. La beauté et l’horreur du paysage, aussi, enveloppés d’un manteau gris de cendres et de plumes. « Il y a un moment après qu’un feu de forêt brûle mais avant que les humains ne reviennent », dit Bates, « où la terre et les forêts sont à la fois belles et terrifiantes. »
Between 2014 and 2020, Ian Bates traveled tirelessly along the West Coast of the United States. For years, he has photographed there a charred land suffering from increasing scorching wildfires. But, far from any voyeuristic dramatization, scarce are the depictions of the roaring flames, or of the fire’s fury. Rather, standing at a respectful distance, Bates photographs in rich black and white tones what is at the margin, the traces, the aftermaths. The beauty and horror of the landscape, too, enshrouded in a grey cloak of ashes and plumes. “There is a moment after a wildfire burns but before humans return”, says Bates, “where the land and forests are both beautiful and terrifying.”
-
Tania Franco Klein : Mercado de Sonora
50,00€1ère édition tirée à 600 exemplaires / 1st edition of 600 copies.
À la fois livre et installation, Mercado de Sonora est l’exploration par Tania Franco Klein des élixirs, malédictions et remèdes trouvés dans les étals du célèbre marché public de Mexico.
Part book, part installation, Mercado de Sonora is Tania Franco Klein’s exploration of the elixirs, curses and cures found within the stalls of Mexico City’s famed public market.
-
Jo Ann Callis : Dish Trick
50,00€1ère édition tirée à 800 exemplaires / 1st edition of 800 copies.
À travers des compositions humoristiques et des juxtapositions discordantes, le livre de Jo Ann Callis explore les émotions latentes dans les objets de la maison. En tant que l’une des premières grandes praticiennes du mouvement « photographies fabriquées », elle transforme l’ordinaire en drames qui se déroulent et invite le spectateur à collaborer à sa fiction.
Through humorous compositions and jarring juxtapositions, Jo Ann Callis’ book explores the emotions latent in the objects of the home. As one of the first major practitioners of the “fabricated photographs » movement, she transforms the ordinary into unfolding dramas, and invites the viewer to collaborate in her fiction.
-
Toshio Shibata : 1987
40,00€En prévision de l’Exposition mondiale du design de 1989 à Nagoya, le photographe légendaire Toshio Shibata a été chargé par le galeriste pionnier Etsuro Ishihara, fondateur du Zeit-Foto Salon, de participer à une série de voyages à travers l’Égypte et la Turquie.
In anticipation of the 1989 World Design Exposition in Nagoya, legendary photographer Toshio Shibata was commissioned by the pioneering gallerist Etsuro Ishihara, founder of the Zeit-Foto Salon, to participate in a series of trips through Egypt and Turkey.
-
Emily Shur : Sunshine Terrace (SIGNÉ)
Exemplaire Signé / Signed Copy.
À travers les pages de Sunshine Terrace, c’est une étrange domesticité qui nous frappe d’abord.
Through the pages of Sunshine Terrace, it is a strange, askew domesticity that first strikes us.
Ce sont les yeux rouges d’une porte de garage, un arbre tordu qui pousse sur des lits de gravier en patchwork, des paniers abandonnés, une étrange décoration triangulaire, comme l’apparence d’une carte imaginaire qu’on ne peut lire. Ce sont les signes à déchiffrer d’une zone résidentielle délibérément vidée, dont la présence humaine reste insaisissable, mais dont nous reconnaissons les repères inévitables : les surfaces en stuc et en asphalte, les clôtures et carrosseries, les éclats de verdure aussi.
It is the red eyes of a garage gate, a crooked tree growing over patchwork gravel beds, abandoned shopping carts, a strange triangular decoration, like a semblance of an imaginary map that one cannot read. These are the signs to be deciphered of a deliberately emptied residential area, whose human presence remains elusive, but whose inevitable markers we recognize: the stucco and asphalt surfaces, the chain-link fences and bodywork, the bursts of greenery, too.
-
Emily Shur : Sunshine Terrace
À travers les pages de Sunshine Terrace, c’est une étrange domesticité qui nous frappe d’abord.
Through the pages of Sunshine Terrace, it is a strange, askew domesticity that first strikes us.
Ce sont les yeux rouges d’une porte de garage, un arbre tordu qui pousse sur des lits de gravier en patchwork, des paniers abandonnés, une étrange décoration triangulaire, comme l’apparence d’une carte imaginaire qu’on ne peut lire. Ce sont les signes à déchiffrer d’une zone résidentielle délibérément vidée, dont la présence humaine reste insaisissable, mais dont nous reconnaissons les repères inévitables : les surfaces en stuc et en asphalte, les clôtures et carrosseries, les éclats de verdure aussi.
It is the red eyes of a garage gate, a crooked tree growing over patchwork gravel beds, abandoned shopping carts, a strange triangular decoration, like a semblance of an imaginary map that one cannot read. These are the signs to be deciphered of a deliberately emptied residential area, whose human presence remains elusive, but whose inevitable markers we recognize: the stucco and asphalt surfaces, the chain-link fences and bodywork, the bursts of greenery, too.
-
Austin Leong, Adrian Martinez, Henry Wessel : Soft Eyes (SIGNÉ)
Exemplaire Signé / Signed Copy.<p< Tampon du Studio Henri Wessel et Signatures de Austin Leong et Adrian Martinez sur la page de garde.
Stamp of Studio Henri Wessel and signatures of Austin Leong and Adrian Martinez on the title page.
« Soft Eyes », a écrit un jour le regretté Henry Wessel en décrivant la façon dont il cherchait des photos, « est une sensation physique.
Vous ne cherchez pas quelque chose. Vous êtes ouvert, réceptif. À un moment donné, vous êtes face à quelque chose que vous ne pouvez ignorer.»
Dans cet acte d’hommage intelligent et tendre, les photographies de Wessel (dont beaucoup n’ont jamais été publiées) sont associées au travail de deux jeunes photographes californiens, Austin Leong et Adrian Martinez, et le travail qui en résulte est une exploration surprenante de l’influence ainsi qu’une étude des sortes de tissus conjonctifs qui fournissent un fil conducteur dans la longue et fascinante histoire de la lignée de la photographie.
« Soft eyes », the late Henry Wessel once wrote in describing the way he went about looking for photographs, “is a physical sensation.
You are not looking for something. You are open, receptive. At some point you are in front of something that you cannot ignore.”
In this smart and tender act of homage, Wessel’s photographs (many of them previously unpublished) are combined with the work of two younger California photographers, Austin Leong and Adrian Martinez, and the resulting work is a surprising exploration of influence as well as a study of the sorts of connective tissue that provide a throughline in photography’s long and fascinating history of lineage.
-
Jake Inez : Zephyr
Exemplaire Signé / Signed Copy.
Zephyr est une collection de 140 photographies prises sur film couleur qui capture l’essence de la croissance en Californie du Sud.
Zephyr is a collection of 140 photographs shot on color film capturing the essence of growing up in Southern California.
« In the places we’re from, we never truly exist. All at once, we disappear into their completeness, swallowed by everything we’ve always known. » -Jake Inez
-
Tim Carpenter : Little
Une série de 42 photographies de moyen format représentant des éclats du paysage semi-rural du centre de l’Illinois.
An unassuming sequence of 42 medium-format photographs depicting slivers of the semirural landscape of Central Illinois.
Little de Tim Carpenter complète une trilogie de livres photo enracinée dans la sensibilité et l’approche de la pratique de l’« appareil photo », que le photographe a élaborée dans le livre essai To Photograph Is To Learn How To Die (2022).
Tim Carpenter’s Little completes a trilogy of photobooks rooted in the sensibility and approach to the practice of “camera” he elaborated in the book-length essay To Photograph Is To Learn How To Die (2022).
-
Bruce Davidson : Subway
Livre Épuisé / Out of Print Book.
Exemplaire état Neuf / Copy as New.
Depuis que le sol a été cassé, le système de métro de New York est devenu une légende vivante et une source d’inspiration et de peur.
Since ground was first broken, New York City’s subway system has been the stuff of living legend–and a source of inspiration and fear.
-
Gerry Johansson : Maine
De Augusta à Bristol, en passant par Brunswick et au-delà, la chronique du Maine de Johansson combine humour et émotion avec un sens du lieu.
From Augusta to Bristol, Brunswick and beyond, Johansson’s chronicle of Maine combines humor and emotion with a sense of place.
-
Austin Leong, Adrian Martinez, Henry Wessel : Soft Eyes
75,00€« Soft Eyes », a écrit un jour le regretté Henry Wessel en décrivant la façon dont il cherchait des photos, « est une sensation physique.
Vous ne cherchez pas quelque chose. Vous êtes ouvert, réceptif. À un moment donné, vous êtes face à quelque chose que vous ne pouvez ignorer.»
Dans cet acte d’hommage intelligent et tendre, les photographies de Wessel (dont beaucoup n’ont jamais été publiées) sont associées au travail de deux jeunes photographes californiens, Austin Leong et Adrian Martinez, et le travail qui en résulte est une exploration surprenante de l’influence ainsi qu’une étude des sortes de tissus conjonctifs qui fournissent un fil conducteur dans la longue et fascinante histoire de la lignée de la photographie.
« Soft eyes », the late Henry Wessel once wrote in describing the way he went about looking for photographs, “is a physical sensation.
You are not looking for something. You are open, receptive. At some point you are in front of something that you cannot ignore.”
In this smart and tender act of homage, Wessel’s photographs (many of them previously unpublished) are combined with the work of two younger California photographers, Austin Leong and Adrian Martinez, and the resulting work is a surprising exploration of influence as well as a study of the sorts of connective tissue that provide a throughline in photography’s long and fascinating history of lineage.
-
Magdalena Wywrot : Pestka
72,00€Exemplaire Signé / Signed Copy.
Pestka de Magdalena Wywrot est un portrait à travers le miroir défiant la
gravité de la vie d’une mère et de sa fille adolescente, une série de dépêches en accéléré apparemment téléportées depuis une station spatiale hermétique suspendue au-dessus d’une planète (et de Cracovie, en Pologne) où le temps s’arrête littéralement.Magdalena Wywrot’s Pestka is a gravity-defying, through-the-looking-glass portrait of the life of a mother and her adolescent daughter, a series of time-lapse dispatches seemingly beamed from a hermetic space station suspended high above a planet (and Krakow, Poland) where time is literally standing still.
-
Anne Rearick : Gure Bazterrak / Our Land
Au loin, il y a l’océan. Mais ici, c’est la terre des hautes montagnes arrondies, des rivières, des pâturages. De ceux qui la traversent, la partagent et s’en occupent. Cette terre est l’arrière-pays basque. À cheval sur la France et l’Espagne, entre les Pyrénées et le golfe de Gascogne, c’est une terre fière de sa beauté sauvage, souvent imaginée et entourée d’un brouillard mystique, comme pour mieux se protéger des regards étrangers.
In the distance, there’s the ocean. But here, it’s the land of high, rounded mountains, of rivers, of pastures. Of those who cross, share and tend it. This land is the Basque hinterland. Straddling France and Spain, nestled between the Pyrenees and the Bay of Biscay, it’s a proud land of wild beauty, often fantasized about and surrounded by a mystical mist, as if to better protect it from foreign eyes.
-
Christopher Robin Duncan : Poems
65,00€Connu pour son travail textile et sonore, Christopher Robin Duncan s’est récemment tourné vers la photographie, redécouvrant avec un plaisir simple et sincère le médium qu’il avait, depuis quelque temps, mis de côté.
Known for his textile and sound work, Christopher Robin Duncan recently turned to photography, rediscovering with a simple and sincere pleasure the medium that he had, for a while, set aside.


















