La photographie de Adrienne Raquel est habituellement éditoriale, avec des célébrités puissantes comme sujets. Son travail a brisé le plafond de verre pour les femmes photographes noires. Maintenant, pour ce projet passionné, sur commande et exposé à Fotografiska New York en 2021, elle a tourné son regard vers une communauté d’artistes sous-représentées dans sa ville natale. Au Club Onyx, les strip-teaseuses montent sur scène en montrant leur corps, leur force et leur séduction, mais il y a une vertu à cet espace particulier. « Elles ne se déshabillent pas » est une expression courante pour décrire l’ambiance du club. Les artistes doivent prendre le mot « strip-teaseuse » et négocier avec ce que cela signifie pour elles, selon leurs propres termes. Des images puissantes des danseuses en semi-mouvement aux plans détaillés et aux portraits intimes, les images saisissantes d’Adrienne Raquel mettent en valeur la beauté divine et l’énergie fascinante qui animent la vie nocturne de Houston. Elle emmène également les spectateurs dans les coulisses, nous donnant une fenêtre sur la communauté que les danseuses ont construite dans l’intimité du vestiaire. Photographié au cours de l’année 2020, ‘ONYX’ montre l’autonomisation et l’inclusivité dans les clubs de strip-tease que la société a ignoré. Tel qu’il a été capturé par Adrienne Raquel, l’expérience de la boîte de nuit se révèle avec une signification sur plusieurs couches, ce qui permet à ces artistes d’être perçues aussi fortes que la culture qu’elles influencent ; préface de Nandi Howard, photos en couleurs.
Raquel’s photography is usually editorial, with high-power celebrities as her subjects. Her work has broken glass ceilings for Black female photographers. Now, for this passion project commissioned and exhibited at Fotografiska New York in 2021, she has turned her lens towards a community of underrepresented artists in her hometown. At Club Onyx, strippers step on stage displaying their bodies, strength, and seduction, but there’s a virtue to this particular space. “They don’t get naked” is a common idiom to describe the club’s ambiance. Performers there take the word “stripper,” and negotiate what that means to them, on their own terms. From powerful images of the dancers mid-movement to detailed shots and intimate portraits, Raquel’s striking images put the divine beauty and compelling energy that enlivens Houston’s nightlife on full display. She also takes viewers behind the scenes, giving us a window into the community the dancers have built in the privacy of the locker room. Photographed over the course of 2020, ‘ONYX’ displays the empowerment and inclusivity in strip clubs that society has ignored. As captured by Raquel, the night club experience is revealed with layered meaning — granting the chance for these performers to be seen as elevated as the culture they influence.