Un livre qui accompagne le livre Shtetl in the Sun, la lettre d’amour d’Andy Sweet à la communauté juive colorée de la fin des années 1970 à South Beach. Hello Muddah, Hello Faddah chronique l’été 1977 à Camp Mountain Lake, rendant un portrait connu de la mode de l’époque, la culture pop et les expressions franches de la sexualité adolescente. Face aux rituels chéris de la vie dans les camps – du défilé de malles à l’arrivée de 300 campeurs dans le cadre rural de la Caroline du Nord de Mountain Lake à la frénésie dionysienne de la fin août de la « guerre des couleurs », les photos de Sweet racontent une histoire classique d’arrivée à l’âge adulte, une histoire pleine d’écrasements maladroits. Des amitiés intenses et le genre de vérités profondes qui émergent tard dans la nuit, des guimauves grillées au feu de camp. En tant qu’instructeur de photographie du camp et l’un de ses conseillers, Sweet apporte une familiarité intime à son sujet, capturant les rythmes quotidiens du camp à travers des compositions posées et des images spontanées. « J’ai rencontré Andy Sweet en 1978 lorsque je me suis rendu à Miami », a fait remarquer Mary Ellen Mark, une collègue photographe qui travaillait en étroite collaboration avec Sweet, après son décès en 1982. « Il était peut-être plus jeune, mais je le considérais comme un égal. » Nostalgique, émouvante et drôle, cette collection comprend une préface de Brett Sokol, journaliste artistique primé de Miami, et un essai d’introduction de la rédactrice du magazine new-yorkais Naomi Fry.
A companion volume to Shtetl in the Sun, Andy Sweet’s love letter to the colorful Jewish community of late 1970s South Beach, Hello Muddah, Hello Faddah chronicles the summer of 1977 at Camp Mountain Lake, serving up a knowing portrait of the era’s fashion, pop culture, and frank expressions of adolescent sexuality. Set against the cherished rituals of camp life–from the parade of trunks as 300 campers arrive at Mountain Lake’s rural North Carolina setting to the end-of-August Dionysian frenzy of “Color War”–Sweet’s photos tell a classic coming-of-age story, one full of awkward crushes, intense friendships, and the kind of deep truths that emerge over late night, campfire-toasted marshmallows. As the camp’s photography instructor and one its counselors, Sweet brings an intimate familiarity to his subject, capturing the the camp’s daily rhythms through both posed compositions and spontaneous images. “I met Andy Sweet in 1978 when I traveled to Miami,” fellow photographer Mary Ellen Mark, who worked closely with Sweet, remarked after his passing in 1982. “He may have been younger, but I considered him every bit an equal.” By turns nostalgic, poignant, and laugh-out-loud funny, this collection includes a foreword by award-winning Miami arts journalist Brett Sokol and an introductory essay by New Yorker magazine staff writer Naomi Fry.