Exemplaire Signé.
1ère édition numérotée sur 350 exemplaires.
À l’époque, Moriyama était poussé par l’envie de photographier chaque recoin de son nouveau quartier de Yotsuya à Tokyo, après y avoir déménagé après avoir fermé sa galerie à Shibuya. Peu de temps après, il a couvert toute la région de Yotsuya et a continué à photographier le labyrinthe de ruelles, de trous et de coins à Shinjuku, Shibuya et Ikebukuro. Les photographies de 1992 traduisent la soif sans fin et incontrôlable de Moriyama pour le détail, la texture, la forme et la saleté et la crasse.
« Les innombrables rues et ruelles où rôdait ce chien affamé ont beaucoup changé avec le temps. Mais en fait, il y a une odeur de corps, un sentiment de désir pour ces rues, et un jeu de lumières et de nuances qui ne changent jamais beaucoup. Et le vieux chien, tremblant comme il est, erre encore dans les rues avec la caméra à la main. Prendre des photos est une chose tellement cool après tout! » de la postface de Daido Moriyama
Signed Copy.
1st edition numbered on 350 copies.
Back then, Moriyama was driven by the urge to photograph every nook and cranny of his new neighborhood of Yotsuya in Tokyo, having relocated there after closing his gallery in Shibuya. Before long, he had covered the entire Yotsuya area and continued to photograph the maze of alleys, gaps and corners in Shinjuku, Shibuya and Ikebukuro. The 1992 photographs convey Moriyama’s unending, uncontrollable lust for detail, texture, form and dirt and grime.
“The countless streets and alleys where this starving dog once prowled around have changed a lot over time. But as a matter of fact, there is a body odor, a sense of desire to those streets, and a play of lights and shades that never change much. And the old dog, shaky as he has gotten, is still roaming the streets with the camera in his hand. Taking photos is such a cool thing after all!” ― from Daido Moriyama’s afterword