Produit à l’occasion de l’exposition James Barnor: Stories. Le portfolio 1947-1987 présentée en 2022 à la fondation LUMA dans le cadre des Rencontres d’Arles, l’ouvrage offre un regard kaléidoscopique sur l’œuvre du photographe ghanéen. D’Accra à Londres et de Londres à Accra, de la fin de l’époque coloniale au début des années 1980, des portraits de studio aux commandes de presse, le lecteur entre dans les coulisses de ses images les plus célèbres, tout en explorant des aspects plus confidentiels de cette archive exceptionnelle. Cette exposition est la première rétrospective en France de ce photographe qui continue à inspirer, à près de 93 ans, des générations d’artistes contemporains et dont l’œuvre est aujourd’hui présente dans les plus grandes collections internationales ; préface de Maja Hoffmann, textes de Matthieu Humery, Damarice Amao, Margaux Lavernhe, Hans Ulrich Obrist et Isabella Seniuta, photos en n.b. et en couleurs.
Publié à l’occasion de l’exposition “James Barnor: Stories. Le portfolio 1947-1987”, présentée à LUMA ARLES à partir du 4 juillet 2022.
Exhibition catalogue of “James Barnor: Stories. Pictures from the archive (1947-1987)”, an exhibition presented at LUMA ARLES from July 4th 2022.
In parallel with the exhibition James Barnor: Stories. Pictures from the Archive (1947-1987), presented in 2022 at the LUMA Foundation as part of the Rencontres d’Arles festival, the book offers a kaleidoscopic overview of the Ghanaian photographer’s œuvre. From Accra to London and back, from the end of the colonial era to the early 1980s, from studio portraits to press commissions, the reader gains an insight into the process behind Barnor’s best-known images while exploring more personal aspects of this exceptional archive. This exhibition is the first retrospective in France devoted to a photographer who continues, as he approaches the age of 93, to inspire generations of contemporary artists, and whose work is now included in the most prestigious international collections.
« Certaines critiques acerbes pointent même le voyeurisme dans le travail des journalistes et des photographes. Ma réponse est simple : que nous choisissions ou non de la regarder, la souffrance existe. Donc, si l’on cherche un moyen efficace de militer pour la fin de la guerre, les images peuvent y aider. C’est aussi un outil d’une grande force émotionnelle, ce que ne sont pas toujours les mots. » -Dr Comfort Ero, présidente et directrice générale d’International Crisis Group
« La CPI défend un monde plus pacifique et plus juste en favorisant l’accès à la justice, en établissant les responsabilités et en aidant à prévenir les crimes qui menacent la paix, la sécurité et le bien-être du monde.
Cette série photographique est partie prenante de ce travail. Écouter les victimes et les survivants, apprendre d’elles et d’eux et se tenir à leurs côtés est le premier pas vers l’accès à la justice. Partager leurs histoires désigne la matérialité de ces crimes et accélère leur prise de conscience, ce qui encourage le soutien à la politique de responsabilisation et de dissuasion de la Cour pénale internationale. » – Juge Antoine Kesia-Mbe Mindua, Cour pénale Internationale.
