Katsumi Watanabe a commencé sa carrière en tant que «photographe itinérant», se promenant dans les rues et les magasins de Shinjuku en proposant de prendre des photos pour 200 yens par pose. Il a continué à photographier les rues de Shinjuku et les gens qui les peuplaient tout au long de sa vie, jusqu’à sa mort en 2006. En 1982, Watanabe s’est rendu en Inde à la recherche de son ancien Shinjuku.
Le livre photo «Shinjuku, Inde, Shinjuku» rassemble le travail de Watanabe, divisé en trois chapitres. Dans des photographies dont l’obscurité noire de jais semble envelopper les sujets de Watanabe, des scènes de l’ancien Shinjuku sauvage reviennent à la vie, se mêlent à l’intermezzo de Watanabe en Inde et racontent l’histoire d’un photographe longtemps ignoré.
«Il n’y a qu’un seul photographe qui a capturé Shinjuku comme le stade du désir, la grande nature sauvage qu’il est en réalité: Katsumi Watanabe» – Daido Moriyama
Le livre comprend également plusieurs essais écrits par des personnalités culturelles comme Daido Moriyama et Shuji Terayama.
Tous les textes sont uniquement disponibles en japonais.
Katsumi Watanabe began his career as a “traveling photographer,” walking around Shinjuku’s streets and shops offering to take photographs for 200 Yen per pose. He continued to photograph Shinjuku’s streets and the people that populated them throughout his entire life, until his death in 2006. In 1982, Watanabe traveled to India in search of his old Shinjuku.
The photobook “Shinjuku, India, Shinjuku” collects Watanabe’s work, split into three chapters. In photographs whose jet-black darkness seems to envelop Watanabe’s subjects, scenes from the old, wild Shinjuku come back to life, mingle with Watanabe’s intermezzo in India, and tell the story of an often overlooked photographer.
“There is only one photographer who has captured Shinjuku as the stadium of desire, the great wilderness that it actually is: Katsumi Watanabe” — Daido Moriyama
The book also includes several essays written by cultural figures like Daido Moriyama and Shuji Terayama.
All texts only available in Japanese.
