Armée de son Rolleifleix et d’un plan du syndicat d’initiative datant de 1939, Lee Miller est la seule photo-reporter à couvrir les violents combats qui conduiront à la libération de Saint-Malo. Elle photographie les réfugiés, vient en aide aux civils, pénètre dans la vieille ville dévastée et assiste à l’assaut final de la citadelle d’Alet, à son bombardement au napalm et à la reddition allemande.
Son reportage, texte et photos, à l’époque partiellement interdit de publication dans le magazine Vogue, constitue un témoignage exceptionnel.














