Exemplaire Signé.
Cette édition signée comprend un encart signé par l’artiste et collé à l’intérieur de la couverture arrière.
Publié pour la première fois en 1996 avec un énorme succès, Ray’s a Laugh de Richard Billingham est l’un des livres de photos les plus importants du début du vingtième siècle, ainsi qu’une œuvre fondamentale de la génération des Young British Artists. Composé d’images intimes et brutales de la maison parentale de Billingham, souvent chaotique, sous l’effet de l’alcoolisme et de la pauvreté, le livre a été réalisé dans les années 1990 avec les éditeurs Michael Collins et Julian Germain. Cette nouvelle édition restitue pour la première fois la vision originale de Billingham pour son travail profondément personnel. Elle comprend de nombreuses images inédites et une approche distincte du séquençage, influencée par la formation de peintre de Billingham : il s’agit d’un “director’s cut” qui réintroduit une œuvre vitale et constamment stimulante dans une nouvelle ère. La publication de cette nouvelle édition s’accompagne de Ray’s a Laugh : A Reader, édité par Liz Jobey, qui retrace l’histoire passionnante du livre, de la “découverte” de Billingham à l’université de Sunderland à la présente édition retravaillée.
Signed Copy.
This signed edition includes a slip signed by the artist and glued into the inside back cover.
First published in 1996 to enormous acclaim, Richard Billingham’s Ray’s a Laugh is one of the most significant photobooks of the turn of the twentieth century, as well as a cornerstone work of the Young British Artists generation. Formed of starkly intimate images of Billingham’s often chaotic parental home under the heavy effects of alcoholism and poverty, the book was produced in the 1990s with editors Michael Collins and Julian Germain. This new edition restores Billingham’s original vision for his deeply personal work for the first time. Including numerous unseen images and a distinct approach to sequencing inflected by Billingham’s training as a painter: it constitutes a ‘director’s cut’ and reintroduces a vital and consistently challenging work for a new era.
