1ère édition tirée à 500 exemplaires.
Le livre de la photographe Tony Dočekal explore la tension entre les rêves personnels et les définitions sociétales de succès, en s’interrogeant sur la question de savoir si la vraie prospérité réside dans la richesse ou dans des liens plus profonds avec la communauté, la nature et soi-même. Pendant six ans, il revient dans l’Ouest américain, une région mythologisée pour sa liberté et ses opportunités, rencontrant des gens qui défient la norme. Le projet est devenu un voyage de découverte de soi, en questionnant qui nous sommes par rapport à ce que les autres attendent de nous.
« Dans Skid Row, j’ai rencontré un homme qui portait audacieusement une robe de mariée rose. Sa tente avait été volée cette nuit-là, et le voleur avait échangé ses affaires contre la tenue. ‘C’est tout ce que j’ai, tout ce que je peux porter. Tout est remplaçable.’
Pendant six ans, je suis retourné dans l’Ouest américain, une région mythologisée pour sa liberté et ses possibilités, rencontrant des gens qui défient la norme. ‘The Color of Money and Trees’ est devenu un voyage de découverte de soi, en questionnant qui nous sommes par rapport à ce que les autres attendent de nous. Le travail explore la tension entre le succès matériel et l’épanouissement plus profond, en se demandant si la vraie prospérité réside dans la communauté et la conscience de soi plutôt que dans la richesse et les possessions. » -Tony Dočekal
1st edition of 500 copies.
Photographer Tony Dočekal’s book explores the tension between personal dreams and societal definitions of success, questioning whether true prosperity lies in wealth or deeper connections to community, nature, and self. For six years, he returned to the American West, a region mythologised for its freedom and opportunity, encountering people who defy the norm. The project became a journey of self-discovery, questioning who we are versus what others expect us to be.
“On Skid Row, I met a man boldly wearing a pink wedding dress. His tent had been robbed that night, and the thief had swapped his belongings for the outfit. ‘This is everything I have, all I can carry. Everything is replaceable.’
For six years, I returned to the American West, a region mythologized for its freedom and opportunity, meeting people who defy the norm. ‘The Color of Money and Trees’ became a journey of self-discovery, questioning who we are versus what others expect us to be. The work explores the tension between material success and deeper fulfillment, asking if true prosperity lies in community and self-awareness rather than wealth and possessions.” -Tony Dočekal
