« Un chemin le long du sol, de proportions 1×21 unités, photographié. Photographies imprimées taille réelle des objets et des empreintes attachées au sol de sorte que les images sont parfaitement conformes à leurs objets. » Avec ces mots d’instruction, tapé sur une carte humble en 1967, Victor Burgin a conçu l’une des œuvres les plus profondes et remarquables de l’art photographique. Chaque fois qu’il était exposé, il devait être refait, unique à son cadre. Embrassant l’art minimal et conceptuel, la performance et l’installation spécifique au site, il n’y a pas d’autre œuvre comme Photopath. De manière analytique et associative, l’écrivain et conservateur David Campany fait découvrir au lecteur l’histoire et les implications de Photopath, ainsi que leur place dans l’art et les écrits théoriques de Victor Burgin.
‘A path along the floor, of proportions 1×21 units, photographed. Photographs printed actual size of objects and prints attached to the floor so that images are perfectly congruent with their objects.’ With these words of instruction, typed on a humble card in 1967, Victor Burgin conceived one of the most profound and remarkable works of photographic art. Each time it was exhibited, it had to be made anew, unique to its setting. Embracing Minimal and Conceptual art, performance and site-specific installation, there is no other artwork like Photopath. In his characteristically analytical and associative manner, writer and curator David Campany takes the reader through the history and implications of Photopath, and their place in the breadth of Victor Burgin’s art and theoretical writings.
