La première monographie d’Allen Wheatcroft, « Body Language », explore l’équilibre entre la connexion et la dislocation, qu’il observe dans les rues de la ville, appareil photo à la main. Pris à Chicago, en Suède, à Los Angeles, à Berlin et à Paris, le livre comprend une introduction du célèbre photographe de rue new-yorkais Jeff Mermelstein.
Les photographies mettent l’accent sur les gestes, les mouvements et les expressions; un langage visuel sans mots. Le spectateur en vient à s’interroger sur les solitaires et les banquiers, les portiers et les rats de gymnase, les touristes et les baigneurs de soleil – avides, perplexes, blessés – qui habitent nos villes et à sympathiser avec eux. Ce projet, qui met l’accent sur la tension, la solitude et la synchronicité dans la vie contemporaine, utilise le langage universel du corps dans la rue.
Allen Wheatcroft’s first monograph, ‘Body Language’, explores the balance between connection and dislocation, which he observes while roaming city streets, camera in hand. Taken in Chicago, Sweden, Los Angeles, Berlin, and Paris, the book includes an introduction by renowned New York City street photographer Jeff Mermelstein.
The photographs emphasize gestures, movements, and expressions; a visual language without words. The viewer comes to wonder about, and empathize with, the loners and bankers, doormen and gym rats, tourists and sun bathers – eager, perplexed, hurting – who inhabit our cities. This project, which focuses on tension, loneliness, and synchronicity in contemporary life, uses the universal language of the body in the street.
