Livre Épuisé .
Exemplaire avec des marques d’étagère sur la tranche de queue et des usures d’usage.
Dire qu’Anne Noggle est la seule pilote à la retraite qui ait jamais pris une photo d’elle montrant les cicatrices d’un récent lifting, c’est donner une idée de la façon dont sa carrière et la nature de son travail ont été inhabituelles.
Les autoportraits d’Anne Noggle sont une partie impitoyable de ce qu’elle appelle sa “saga de la chair déchue”, une documentation continue de la façon dont les gens vieillissent. Mais Noggle ne peut pas être cataloguée comme photographe documentaire. C’est une expressionniste avec une vision en constante croissance. Bien que son travail soit très différent du leur, les seuls photographes récents auxquels elle peut être comparée sont des portraitistes célèbres comme Diane Arbus et Richard Avedon.
Ann Noggle décrit son travail comme un effort pour montrer « l’héroïsme d’affronter la vie… en essayant d’humaniser les personnes d’âge moyen et plus âgées.
“Dans son texte analytique perspicace, Janice Zita Grover décrit les photographies de Noggle avec un paradoxe : elles sont “aussi claires et larges que n’importe quel portrait américain de la fin du Xxe siècle. En même temps… ils sont aussi ambigus et impitoyables que n’importe quel portrait américain de la fin du Xxe siècle. »
Anne Noggle est arrivée à l’art alors qu’elle était dans la quarantaine. Jusqu’à récemment, elle était presque inconnue. Depuis 1975, elle a reçu une bourse Guggenheim et une bourse de la National Endowment for the Arts. Silver Lining lui montrera qu’elle n’est pas seulement une portraitiste mais une artiste majeure ; préface de Van Deren Coke, texte de Janice Zita Grover, photos en n.b.
Out of Print Book.
Copy with shelf marks on the tail slice and wear of use.
To say that Anne Noggle is the only retired pilot who has ever taken a picture of herself showing the scars of a recent face-lift is to give some idea of how unusual both er career and the nature of her work have been. Noggle’s self-portraits are a ruthless part of what she refers to as her “saga of the fallen flesh”-a continuous documentation of the way people grow older. But Noggle cannot be pigeonholed as a documentary photographer. She is an expressionist with a constantly growing vision. Although her work is quite different from theirs, the only recent photographers to whom she can be compared are such famed portraitists as Diane Arbus and Richard Avedon.
Ann Noggle describes her work as an effort to show “the heroics of confronting life… trying to humanize the middle-aged and older.
“In her insightful analytic text, Janice Zita Grover characterizes Noggle’s photographs with a paradox: they are “as clear and large-spirited as any late twentieth-century American portraits can be. At the same time… they are as ambiguous and merciless as any late twentieth-century American portraits can be.”
Anne Noggle came to art when she was well into her forties. Until recently, she was almost unknown. Since 1975 she has been awarded a Guggenheim fellowship and tow National Endowment for the Arts grants. Silver Lining will show her as not merely a portraitist but a major artist.