Alors que les photographies ont été faites à l’origine dans les déserts, les montagnes, les océans et les plaines, l’artiste écrit : « Mes images devraient être considérées comme des métaphores, une forme de méditation. Je ne représente pas les paysages ou la nature. Le désert me permet de voir mon moi intérieur, et mon but est de faire des images de ce que je ressens là, le sens éternel d’être ouvert et présent au monde. »
Le travail de Jungjin Lee a élargi les limites du processus photographique pour créer des images à la fois texturales et minimalistes. Après avoir imprimé une image sur un papier de coton ou de mûrier émulsionné à la main, elle modifie ensuite sa finition, en utilisant des processus technologiques qui donnent une image distincte à fort contraste.
While the photographs were originally made in deserts, mountains, oceans and plains, the artist writes, “My images should be seen as metaphors, a form of meditation. I do not depict landscapes or nature. The desert allows me to see my inner self, and my goal is to make images of what I feel there: the eternal sense of being open and present to the world.”
Jungjin Lee’s work has expanded the boundaries of the photographic process to create images that are simultaneously textural and minimalist. After printing an image on hand-emulsified cotton or mulberry paper, she then alters its finish, using technological processes that result in a distinct, high contrast image.