1ère édition triée à 800 exemplaires.
La plupart des photos de ce livre ont été réalisées au cours des dix dernières années.
Je me suis promené dans la ville et j’ai pris des photos comme je l’ai toujours fait sans idée préconçue des sujets à sélectionner.
Une image à la fois. Chacune complète en soi. Il y a quarante ans, j’ai travaillé de la même manière et avec la même technique de prise d’une image très rapide et spontanée dans l’appareil photo et de l’atterrissage sur le film à l’intérieur.Certaines de ces images des années 1970 sont incluses comme un moyen d’illustrer mon impulsion initiale à photographier encore vies. Souvent d’étranges rébus comme des images de flocons de neige sur une feuille de chou. La possibilité de l’image devait être décidée presque inconsciemment – alors j’ai craqué et je l’ai vue pour la première fois dans la chambre noire, dans le négatif.
Ils ne sont pas tous tranchants ou faits en regardant à travers le viseur.
Ils sont accidentels et automatiques. Et pris furtivement et rapidement comme si quand je voyais l’homme ou le fragment de nourriture ou de papier usé je voulais juste le prendre et le placer dans les appareils photo comme une note – sur un cadre du film à l’intérieur.
De cette façon, ces images ne sont découvertes qu’après le développement du film. J’ai d’abord fait une impression de 16 x 20 pouces de chaque négatif et le grain et la composition des éléments sont sortis pour aider à fixer solidement l’idée de dormir sur le trottoir, près d’une bordure attachée à une petite croûte de pain.
Il se peut aussi qu’entre les quelques photos de sans-abri qui sont incluses, il y ait l’ancrage de leur vie avec les natures mortes et les paysages qui les séparent.
C’est un catalogue de la surface qui est avec plus de détails et de subjectivité que la vue globale moderne de l’espace.
1st edition of 800 copies.
Most of the pictures in this book were made over the last ten years.
I walked around the city and took pictures just like I have always done with no preconceived idea of what subjects to select.
One picture at a time. Each complete in itself. Forty years ago I worked in the same way and with the same technique of taking a very fast and spontaneous image up into the camera and landing it on the film inside.Some of these pictures from the 1970’s are included as a way to illustrate my initial impulse to photograph still lifes. Often strange rebuses like images of snow flakes on a cabbage leaf. The picture possibility had to be decided almost unconsciously – so I snapped and I saw it for the first time in the darkroom, in the negative.
They are not all sharp or made by looking thru the viewfinder.
They are accidental and automatic. And taken furtively and quickly as if when I saw the man or the fragment of food or waste paper I wanted to just pick it up and place it into the cameras as a note – on a frame of the film inside.
That way these pictures are discovered only after the film is developed. First I made a 16×20 inch print of each negative and in it the grain and composition of elements came out to help solidly fix the idea of sleeping on the sidewalk , near a curb attached to a small crust of bread.
What else may have happened is that in-between the few pictures of homeless people that are included is the grounding of their lives with the still lives and landscapes set between them.
It is a catalog of the surface that is with more detail and subjectivity than the modern global view from space.