1ère édition tirée à 600 exemplaires.
Inspiré par les Tokyo Papers de Karel Martens, Ari Marcopoulos a arrangé ses images, en pensant à ce qui distinguerait l’intérieur et l’extérieur, le public et le privé. Une idée qui était déjà devenue une pensée répandue pendant la pandémie de Covid. Le travail en couleur, caché sur les pages intérieures, consiste principalement en des portraits d’objets et de personnes, tandis que les photos en noir et blanc sur les pages visibles sont des travaux récents de photos principalement extérieures réalisées en janvier et février 2021; photos en n.b. et en couleurs.
Ari Marcopoulos : « La première chose qui me vient à l’esprit quand je vois mes nouvelles photographies, c’est de les imaginer sous la forme d’un livre. Souvent, je fais même des pdf de livres qui ne voient jamais le jour comme une œuvre publiée. C’est un bon moyen de voir à quoi ressemblent les images, je considère même le livre comme une forme de court métrage.”
Inspired by Karel Martens’ Tokyo Papers, Ari Marcopoulos arranged his pictures, thinking about what would distinguish inside and outside, public and private. An idea that had already become a prevalent thought during the covid pandemic. The color work, hidden on the inside pages, is primarily portraits of objects and people, while the black and white photos on the visible pages are recent work of mainly exterior pictures done in January and February of 2021.
Marcopoulos: “The first thing in my mind when I see my new photographs is envisioning them in the form of a book. Often, I even make pdfs of books that never see the light of day as a published work. It’s a good way to see how images look together, I even think of the book as a form of a short film.”
