Deborah Roberts : Twenty Years of Art/Work

En utilisant des images de l’histoire américaine, de la culture noire, de la culture pop et de l’histoire des Noirs, Deborah Roberts adopte un commentaire social puissant, critiquant les perceptions de la beauté idéale et remettant en question les stéréotypes et les mythes.

By using images from American history, Black culture, Pop culture and Black history, Roberts takes on a powerful social commentary, critiquing perceptions of ideal beauty, and challenging stereotypes and myths.

« Pour notre bien à tous, j’espère que Deborah Roberts continuera de revendiquer, par son travail, une vision plus large des enfants noirs. » — Dawoud Bey

“For all our sakes, I hope Deborah Roberts continues to stake a claim, through her work, for a more expansive view of Black children.” —Dawoud Bey

Lire la suite

65,00

Plus que 1 en stock

Deborah Roberts : 20 Years of Art/Work jette un regard définitif sur la pratique de l’artiste au cours des deux dernières décennies. Avec des textes nouvellement commandés et une plongée approfondie dans les archives de Deborah Roberts, cette monographie offre une vue complète de l’une des artistes et observatrices sociales les plus importantes d’aujourd’hui. Une vaste section de planches est accompagnée d’un avant-propos personnel et sincère de Dawoud Bey sur « la tragique déformation des enfants noirs »; un essai perspicace d’Ekow Eshun sur les histoires sociales et politiques de l’innocence, la race et la nature fracturée de l’expérience contemporaine des Noirs ; un hommage de Carolyn Jean Martin sur la musicalité, l’humilité et la générosité de la pratique de Roberts ; et une conversation libre entre Deborah Roberts et Sarah Elizabeth Lewis.

Depuis le début de sa carrière artistique, l’altérité est au centre de la conscience de Deborah Roberts. Ses premiers idéaux de race et de beauté ont été façonnés et liés par les magazines d’art et de mode de la Renaissance – des images mythiques, héroïques, belles et puissantes qui incarnaient un statut particulier non accordé à quiconque Roberts connaissait. Influençant la façon dont elle se voyait elle-même et d’autres Afro-Américains, ces images l’ont amenée à enquêter sur la façon dont leurs identités avaient été imaginées et façonnées par des interprétations sociétales de la beauté. Le démantèlement de son identité, sa marginalisation et sa régulation vers un statut non-humain exigeaient une action. Cela a conduit Roberts à engager de manière critique la création d’images dans l’histoire de l’art et de la pop-culture, et finalement à lutter contre le pouvoir et l’autorité de ces images sur la figure féminine.

Son procédé combine des images trouvées et manipulées avec des détails dessinés et peints à la main pour créer des figures hybrides. Ces représentations prennent souvent la forme de jeunes filles et de garçons de plus en plus noirs, dont le bien-être et l’avenir sont également menacés en raison du double standard de l’enfance et de la criminalité qui est projeté sur eux à un si jeune âge. Les garçons et les filles qui peuplent son travail, tout en étant soumis à des pressions sociétales et à des images projetées, ne sont toujours pas figés dans leur identité. Chaque enfant a le caractère et la capacité de trouver sa propre voie parmi les récits compliqués de l’histoire américaine, afro-américaine et de l’artM ; préface de Dawoud Bey, textes de Carolyn Jean Martin et Ekow Eshun, conversation avec Sarah Lewis.

Deborah Roberts: 20 Years of Art/Work provides the definitive look at the artist’s practice over the past two decades. With newly commissioned texts and a thorough dive into Roberts’ archive, this monograph offers a comprehensive view of one of today’s most significant artists and social observers. An extensive plate section is accompanied by a personal, heartfelt foreword from Dawoud Bey on “the tragic mischaracterization of Black children”; an insightful essay from Ekow Eshun on the social and political histories of innocence, race, and the fractured nature of the contemporary Black experience; a celebratory tribute from Carolyn Jean Martin on the musicality, humility, and generosity of Roberts’ practice; and a free-ranging conversation between Roberts and Sarah Elizabeth Lewis.

Since the beginning of her artistic career, otherness has been at the center of Roberts’ consciousness. Her early ideals of race and beauty were shaped by and linked through Renaissance art and fashion magazines— mythical, heroic, beautiful, and powerful images that embodied a particular status not afforded equally to anyone Roberts knew. Influencing the way she viewed herself and other African Americans, those images led her to investigate the way their identities had been imagined and shaped by societal interpretations of beauty. Having one’s identity dismantled, marginalized and regulated to non-human status demanded action. This led Roberts to critically engage image-making in art history and pop-culture, and ultimately grapple with whatever power and authority these images have over the female figure.

Her process combines found and manipulated images with hand drawn and painted details to create hybrid figures. These figures often take the form of young girls and increasingly Black boys, whose wellbeing and futures are equally threatened because of the double standard of boyhood and criminality that is projected on them at such a young age. The boys and girls who populate her work, while subject to societal pressures and projected images, are still unfixed in their identity. Each child has character and agency to find their own way amidst the complicated narratives of American, African American and art history ; foreword by Dawoud Bey, texts by Carolyn Jean Martin, and Ekow Eshun, conversation with Sarah Lewis.

Poids 1700 g
Dimensions 23 × 31.5 cm
Auteur(s)

, , ,

Date d'édition

EAN

9781955161107

Editeur

Photographe

Spécifité

Ville

ISBN 9781955161107
Langue(s) anglais
Nombre de pages 240
Reliure Relié