Chaque image est soigneusement composée d’une histoire non racontée, se déroulant avant et se poursuivant après le cadre. Ils montrent des détails de la ville : un homme étendu sur le plancher d’un train, l’eau d’une fontaine en ville, un oiseau en vol, un éclat de lumière sur les rampes du parc, un enfant qui pleure et qui est porté par les marches du métro et des couples perdus. Les personnes sur les photographies apparaissent constamment en mouvement, se déplaçant dans et hors du cadre contre le fond statique de détails angulaires de la ville et des canyons architecturaux. Collectivement, les photographies de JML NYC 02-23 ne donnent pas l’image de la ville, mais plutôt ce qu’elle ressent.
‘Lopez voit et utilise la lumière comme un libérateur …. Pour libérer les ténèbres de la mort afin de donner la lumière au mystère qu’elle commande en tant que force de la nature… et pour éclairer ses vastes préoccupations émotives et profondes sur le fait d’être vivant et de se voir lui-même. Il est l’un des meilleurs.’ Larry Fink
Each picture is carefully composed of an untold story, happening before and continuing after the frame. They show details of the city: a man sprawled on the floor of a train, the spray from a city fountain, a bird in flight, a shard of light on park railings, a crying child being carried down subway steps and couples lost in each other. The people in the photographs appear constantly in motion, moving in and out of frame against the static backdrop of angular city details and architectural canyons. Collectively the photographs in JML NYC 02-23 impart not how the city looks, but how it feels.
‘Lopez sees and uses light as a liberator …. To liberate darkness from death to give light the mystery it commands as a force of nature.. And to illuminate his vast emotive and profound concerns about being alive and about seeing itself. He is one of the best.’ Larry Fink