Livre Épuisé.
Exemplaire Neuf.
Après avoir quitté Portsmouth, New Hampshire, la ville où il est né et a grandi, Paul McDonough est allé d’abord à Cambridge, Massachussets puis à New York, où sa vie de photographe a commencé sérieusement. Et tandis qu’il ne se lassait jamais de la scène de la rue kaléidoscopique de New York, il sentit l’attrait de l’Ouest, et du pays de rêve qui s’étendait entre les deux côtes.
Des années 1960 aux années 1990, McDonough fit de nombreux voyages photographiques, cherchant à capturer des personnes, des animaux, de l’architecture, des paysages terrestres et urbains — bref, la vie américaine, pré-Internet, pré-téléphone, qui était en train de se faire sentir tout autour de lui ; texte de Albert Mobilio, photos en n.b.
Comme l’a si bien dit Hilton Als du New Yorker : « Le projet de McDonough, me semble-t-il, est une sorte d’enregistrement de sa vie de marcheur… ses images sont une carte de l’expérience, de sa conscience. C’est un penseur qui regarde à travers les yeux de sa caméra pour distinguer la vérité de la réalité. »
After leaving Portsmouth, New Hampshire, the city where he was born and raised, Paul McDonough went first to Cambridge, Massachussets and then New York City, where his life as a photographer began in earnest. And while he never tired of New York’s kaleidoscopic street scene, he felt the tug of the west, and of the sprawling, dreaming country that lay between the two coasts.
From the 1960’s through the 1990’s McDonough made numerous photographic treks, seeking to capture people, animals, architecture, land-and-cityscapes — in short, the American life, pre-internet, pre-cell phone, that was thrumming all around him.
As Hilton Als of the New Yorker so aptly put it: “McDonough’s project, it seems to me, is a kind of record of his life as a walker… his pictures are a map of experience, of his consciousness. He is a thinker who looks through the eye of his camera to distinguish truth from reality.”