Accompagne une exposition à la galerie Courtauld, la première du genre depuis 2017. Autodidacte et influent dans la promotion de la photographie comme forme d’art, Mayne était passionné par la représentation de la vie humaine telle qu’il la trouvait – le plus célèbre étant ses images de rue des communautés à faible revenu de l’ouest de Londres. Captant les enfants en jeu et le phénomène émergent de l’« adolescent fanfaron », Mayne a découvert chez les jeunes une énergie déterminante qui incarnait parfaitement à la fois les cicatrices et la vitalité du post-adolescence.guerre en Grande-Bretagne. L’exposition de plus de soixante photographies réunit une sélection des scènes londoniennes emblématiques de Mayne, ainsi que des portraits intimes de sa propre famille dans le Dorset rural, qui sont presque totalement inconnus. Bien que ces deux volets aient un Ils partagent l’empathie radicale de Mayne et son désir évident de créer des images à impact durable, la sensibilité et l’intégrité artistique. Avec ceux qui sont représentés à partir des années 1950 maintenant dans leurs années plus âgées et une nouvelle génération de jeunes confrontés à des myriades de crises, les images de l’enfance de Mayne, Les adolescents et la famille se sentent particulièrement poignants et opportuns. Le catalogue est richement illustré et comprend un essai original de Jane Alison et une entrevue avec la fille de Mayne, Katkin Tremayne.
Accompanies an exhibition at The Courtauld Gallery, the first of its kind since 2017. Self-taught and influential in the advocacy of photography as an art form, Mayne was passionate about representing human life as he found it – most famously, in his street images of low-income communities in West London. Capturing children at play and the emerging phenomenon of the ‘swaggering teenager’, Mayne discovered in the young a defining energy that perfectly embodied both the scars and the vitality of post-war Britain. The exhibition of more than sixty photographs brings together a selection of Mayne’s iconic London scenes with later, almost entirely unknown intimate portraits of his own family in rural Dorset. While these two strands have a different tenor, they share Mayne’s radical empathy and his evident desire to create images with lasting impact, sensitivity and artistic integrity. With those pictured from the 1950s now in their senior years and a new generation of young people faced with myriad crises, Mayne’s images of childhood, adolescence and family feel especially poignant and timely. The catalogue is richly illustrated and includes an original essay by Jane Alison and an interview with Mayne’s daughter, Katkin Tremayne.