Livre Épuisé. Exemplaire Neuf.
1ère édition Limitée à 1000 exemplaires.
Une série revisitée de Stephen Shore avec une édition limitée exquise de Luzzara, qui comprend un nombre inédit de photographies.
Parlant de son but Shore a dit, “Il n’y avait aucun moyen que je pouvais approcher Luzzara comme si je n’étais pas familier avec le travail de Strand. En même temps, même si je me rendais à Luzzara exactement quarante ans après Strand, je n’étais pas intéressé à produire une nouvelle enquête photographique. D’une certaine manière, le travail de Strand n’a pas besoin d’une simple mise à jour, car les types de personnes, de fermes et de paysages qu’il a photographiés existent toujours sous la même forme aujourd’hui. Mais, ils existent côte à côte avec le monde moderne. Une caractéristique clé de la vie italienne, au moins pour mes yeux du Nouveau Monde, est la présence du traditionnel dans le moderne. Mon but, alors, était de produire un volume d’accompagnement à Un Paese; de produire un groupe d’images, qui à la limite de la subjectivité de ma vision, complètent le travail de Strand.” ; photos en n.b.
Out of Print Book. Copy New.
1st Limited edition of 1000 copies.
A revisited Stephen Shore’s series with an exquisitely produced limited edition publication of Luzzara, which includes a number never before seen photographs.
Speaking of his purpose Shore said, “There was no way I could approach Luzzara as though I was not familiar with Strand’s work. At the same time, even though I was going to Luzzara exactly forty years after Strand, I was not interested in producing a re-photographic survey. In a certain way, Strand’s work does not need simple updating, because the kinds of people and farms and landscapes he photographed still exist in very much the same form today. But, they exist side by side with the modern world. A key feature of Italian life, at least to my New World eyes, is the presence of the traditional within the modern. My aim, then, was to produce a companion volume to Un Paese; to produce a group of pictures, which to the limit of the subjectivity of my vision, supplement Strand’s work.”