Chris Killip, l’un des plus grands photographes de documentaires britanniques, est décédé en octobre dernier à l’âge de 74 ans. Tout au long de sa carrière de plus de 30 ans, il a réalisé certaines des images les plus frappantes de la vie dans les îles britanniques en réponse aux situations sociales résultant de la désindustrialisation et, ce faisant, il a créé ce que Martin Parr a appelé une « façon différente de voir ».
Avec l’aide de son fils Matthew Killip, et de sa veuve Mary (née Halpenny), nous avons rassemblé une collection de portfolios, y compris des images inédites, aux côtés des propres mots de Killip, ainsi que des témoignages personnels de photographes qui ont été influencés par son travail comme Martin Parr, Gregory Halpern, Sage Sohier et Mark Steinmetz.
Chris Killip, one of Britain’s greatest documentary photographers, died last October at the age of 74. Throughout a career spanning more than 30 years, he made some of the most striking images of life in the British Isles as a response to the social situations resulting from deindustrialisation, and in the process created what Martin Parr referred to as “a different way of looking”.
With the help of his son Matthew Killip, and his widow Mary (nee Halpenny), we’ve put together a collection of portfolios, including previously unpublished images, alongside Killip’s own words, as well as personal accounts from photographers who were influenced by his work like Martin Parr, Gregory Halpern, Sage Sohier, and Mark Steinmetz.