Exemplaire Signé.
La Signature se trouve sur un encart en fin d’ouvrage.
De 1988 à 1991, Dawoud Bey a réalisé une série de portraits d’Afro-Américains dans les rues de diverses villes américaines. À l’aide d’un appareil photo monté sur trépied grand format et d’un film Polaroid positif / négatif unique qui a créé à la fois une impression instantanée et un négatif réutilisable, il a demandé à un échantillon représentatif des populations de ces communautés de poser pour lui, créant ainsi un espace d’auto-présentation et de performance. Dans les rues de l’environnement urbain. Dans le cadre de chaque rencontre, Bey a donné à chaque personne un petit imprimé Polaroid noir et blanc pour lui-même afin de rendre la pareille et de rendre quelque chose aux personnes qui lui avaient permis de faire leur portrait. Défiant les stéréotypes raciaux, les portraits qui en résultent révèlent les sujets noirs dans toute leur complexité psychologiquement riche, se présentant ouvertement et intimement à la caméra, au spectateur et au monde; comprend un essai de Greg Tate, photos en n.b.
The signed edition includes a slip signed by the artist and bound into the inside back cover.
From 1988 to 1991 Dawoud Bey made a series of portraits of African Americans in the streets of various American cities. Using a large format tripod mounted camera and a unique positive/negative Polaroid film that created both an instant print and a reusable negative, he asked a cross section of the populations of these communities to pose for him, creating a space of self presentation and performance in the streets of the urban environment. As part of every encounter, Bey gave each person a small black-and-white Polaroid print for themselves as a way of reciprocating and returning something to the people who had allowed him to make their portrait. Defying racial stereotypes, the resulting portraits reveal the Black subjects in all of their psychologically rich complexity, presenting themselves openly and intimately to the camera, the viewer, and the world ; includes an essay by Greg Tate.
