La série suit vaguement la vie de quatre familles interconnectées – les enfants grandissant sans supervision dans un désert magique, tandis que les adultes luttent pour leur survie. Pendant plus de dix ans de visites, Nadia Sablin a assisté à des anniversaires et à des funérailles, bu du thé avec les grands-mères et écouté les histoires de solitude et d’amour des villageois. Ses photographies d’Alekhovshchina explorent et décrivent un monde qui ne correspond pas au récit soigné de la « Russie de Poutine » présenté par les médias occidentaux et orientaux. C’est plus compliqué – entrelacer beauté, pauvreté, traumatisme et espoir ; photos en couleurs.
The series loosely follows the lives of four interconnected families – the children growing up unsupervised in a magical wilderness, whilst the adults struggle for survival. Over more than ten years of visits, Sablin attended birthdays and funerals, drank tea with the grandmothers, and listened to stories of the villagers’ loneliness and love for one another. Her photographs from Alekhovshchina explore and describe a world that doesn’t fit into the neat narrative of “Putin’s Russia” presented by both Eastern and Western media. It is more complicated – interweaving beauty, poverty, trauma, and hope.